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                 Mémoire morte   Près des lambris dorés des bureaux où les corridors filent dans les miroirs sans fin chaque porte, chaque pilier cache un tueur qui s’ennuie et bâille ; le temps est long et le gage est mince.   Cependant au dehors dans l’ombre des immeubles plus d’un portail abrite de la pluie une femme debout brillante comme une vitrine qui regarde avec des yeux vides.   — Allô ? — Oui c’est moi ! ... — Il est temps — Écoutez... Où êtes-vous ?... Où êtes-vous ? — Qui  parle ? ... qui...

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