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Ce si peu
Ce si peu. La tendresse qui me consolait parfois,
et pour toujours la vie traversière,
les échos précoces et les équipées,
les vains obstacles à la mort et la mort même.
André Frénaud, Haeres, dans N ul ne s’égare ,
précédé de H , Poéssie/Gallimard, 2006, p. 177.
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Mais qui a peur ?
Les arbres mouillés,
les armes rouillées,
l'astre dérobé,
le cœur engourdi,
chevaux encerclés,
château disparu,
forêt amoindrie,
accès délaissé,
lisière éperdue,
source dessaisie,
— la neige sourit.
décembre 1974
L'homme
L'homme
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