La pauvreté m'a saisi à l'improviste ce matin d'automne Près d'un poirier je suis venu solitaire contempler la lune Le batelier — sa perche arrachée des mains tempête d'automne Il brama trois fois puis on ne l'entendit plus le cerf sous la pluie Une solitude plus grande que l'an dernier fin d'un jour d'automne Le mont s'assombrit éteignant le vermillon des feuilles d'érables Yosa Buson, Haiku , traduits du...
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