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        La bise un instant retient son souffle et c’est le petit printemps   Le soleil couchant qui tremble à l’horizon fait mal à la tête   Quand souffle la bise ramasseur d’aiguilles de pin lui tient compagnie   Au vent du printemps la ceinture relâchée visage ensommeillé   Moustiques de la chambre à la fumée des offrandes tous s’en sont allés   Bashô, Friches (2) , traduction René Sieffert, presses orientalistes de France, 1992, p. 21, 23, 25, 27, 29.

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