basho_matsuo_10582.jpg

À l’ombre des fleurs la nuit passée en voyage évoque le chant   D’herbes l’appuie-tête trempé par l’averse un chien hurle dans la nuit   En voyage donc j’aurai vu de ce bas monde le grand nettoyage   De mes père et mère le souvenir m’envahit au cri du faisan   Ah le pays natal sur mon cordon ombilical je pleure au déclin de l’an   Bashô,  Friches (2) , traduction René Sieffert, Presses orientalistes de France, 1992, p. 51, 61, 65, 67, 73.

Lire la suite 0