
Pour survivre Dans ce monde clos de morts Où l’espoir enterre l’espoir Il me reste le Refus Pour survivre Je forgerai Avec la limaille de vos mots Je forgerai une langue de fer Pour parler à des surlendemains Paul Valet, La parole qui me porte , Poésie/Gallimard, 2020, p. 125, 126.