
Elle est assise Sa Majesté bourgeoise, elle ouvre boutique et attend ses clients, chevelures clairsemées et flottantes peu de pensées autour de ce siège conquis. Ah, elle reste tranquille, elle, elle ne bouge pas, bah, que voulez-vous, tout a une fin, la vie, la soirée… Patrizia Cavalli, Mes poèmes ne changeront pas le monde, traduction de l’italien D. Faugeras et P. Janot, Des femmes, 2007, p. 409.