
Les mascarets crevèrent les brise-lames et les digues. Le vent laissa les bois chablis jusque par-delà la brande des contreforts. Mais les champs où faucher le seigle et le blé ? Mais la retraite où fraser le doute et la douleur ? Des entrelacs de ronces et de genêts ; un amas de lauzes et de pierres. Et la route ? Un puits. Et le chemin ? Une rigole. Et la sente qui n’allait nulle part, n’en finissait jamais de revenir au même point ? Une faille désormais. Julien Bosc, Je n’ai pas le droit d’en parler , Atelier La Feugraie,...