02/03/2017
Julien Bosc, La coupée

Garder son cap n’est jamais varier que très lentement ne jamais non plus aller plus vite qu’il ne faut bien observer tout ce qui entoure sans se soucier de soi aimer la lenteur à sn corps défendant si nécessaire l’apparence du surplace quelquefois et s’il advient s’armer de patience attendant sans tourments des jours meilleurs ils reviendront tôt ou tard être là de nuit comme de jour et en permanence à l’écoute de ce qui se dit ou chante comme de tout semblerait se taire de quelques règles de la vie en mer...