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(...) hors du cercle une déchirure encore fraîche aucune pierre ne change d’ombre   attenant frontalier avoisinant   un jardin d’enfance peu importent les larmes   on contemple le désastre   « quand quelqu’un parle je meurs »   Claude Royet-Journoud, L’amour d’une description, dans KOSHKONONG , numéro 20, été 2021, p. 7.

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