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                                            À celle qui s’amuse   Inguérissable amour ! Inguérissable plaie Inguérissable rouge feuilles dans du noir Ou du blond mais toujours du sombre Inguérissables maigres démons nus Vous laissez en vous tordant contre les ombres Inapaisés inguérissables trous sanglants.   Tu voles pourtant un sourire enragé Tes yeux se promènent comme deux pierres Ta chevelure est un jeu de frisons sur la tombe Ton masque est mort pour mieux regarder Pour mieux regarder des feux d’entrailles...

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