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                   Les fenêtres   Dans ces chambres obscures où je passe des jours qui m’oppressent, je rôde de long en large cherchant à trouver les fenêtres — Lorsqu’il s’en ouvrira une, ce me sera une consolation — Mais il n’y a point de fenêtre, ou c’est moi qui ne puis les trouver. Peut-être en est-il mieux ainsi. Peut-être la lumière ne serait que nouvelle tyrannie. Qui sait quelles choses nouvelles elle ferait surgir…   Constantin Cavafy, Poèmes , traduits par Georges Papoutsakis, Les Belles Lettres, 1977, p. 37.

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