07/01/2022
Jean Pérol, Libre livre

De l’autre moitié du siècle je viens dont le temps gris oublie déjà tout ce qu’en fut l’âpre misère et de nouveau le monde fait devant tes pas fermer tes mots retour à ceux un jour vaincus oh très subtils les dédales du grand jeu froid des capitales retour à ceux qui sont jugés sort sans pardon des bouches closes tout justes dignes de se taire qui pour toujours n’auront plus droit qu’un grand oubli des cimetières ...