10/06/2021
Bashô, Jours d'hiver

De notre malheur ne résoudra le mystère le chant du coucou Jusqu’aux fleurs des champs butine le papillon aux ailes froissées De la creuse cigale d’automne le cri sans voix s’élève en silence Ne pouvant la couvrit elle fait tomber la lune l’averse d’hiver Joyeusement gazouille l’alouette tire-lire-li Bashô, Jours d’hiver , traduction René Sieffert, Presses orientalistes de France, 1987, p. 21, 25, 33, 37, 41.