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Où me pousse le vent, mon cœur, mon cerveau, en bas dans la ville, là-bas dans la verdure des collines délavées, vers des femmes étrangères                           vers la lune, mêlant blanc et rouge sur un mur nu de cimetière, dans la forêt qui, noire, étend les jambes et dans l’étang rit, s’envolent sauvagement les oiseaux oubliés d’un coup, où mon vent, mon cœur, mon cerveau, mes larmes ?   Thomas Bernhard, Sur...

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