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« nous voici séparés mais c’est écrire » (1)
Le titre, imprononçable, annonce l’impossibilité d’articuler "je", comme s’il y avait une disparition du sujet. Une apostrophe après le j implique, appelle un verbe, soit un engagement dans le monde, et c’est ce monde, difficile à vivre maintenant, dont le déplacement symbolique de l’apostrophe garde la trace. C’est que ’j est un poème du deuil, comme le furent Nous deux encore (Henri Michaux, 1948) et...
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C’est quoi l’art pas brut ?
Les marchands nomment nos œuvres. Refusons. Il y a un clivage effarant en Europe entre art brut et art (art quoi d’ailleurs ?) Or le désir sait que la question n’est pas là mais juste où vivre. Là où nos disions bander pour dire être, bander de toute son âme dont le sexe et l’étoile.
Maimoune m’a raconté...
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[...]
Qui pleure-t-on ?
Y a-t-il un secours ?
Couper dans soi ?
Tu fut-il ?
Je n’est plus pour le savoir ?
Si tu n’est plus pour que je
...
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Caroline Sagot Duvauroux et Jean-Louis Giovannoni, lecture à la librairie José Corti.
[...]
Ensuite je dirai c'est un poème mais n'en suis pas très sûre. Une conversation...
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