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  Le monde s’est fermé et s’observe dans le miroir d’une lune rose   Nous pourrions oublier la circulation des pôles le battement des matées   s’il n’y avait les paupières lentes du lilas s’ouvrant derrière les canisses   la promesse sans parole de son regard en pluie que noue et dénoue l’ombre.   Cécile A. Holdban, Le Rêve de Dostoïevski , Aefuyen, 2025, p. 24.  

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