13/11/2020
Bohdan Chlibec, Le sang de la bourse

Le conciliateur La vie ne sera pas leur œuvre, et même s’ils venaient peupler l’abîme et que leurs descendants s’entassaient jusqu’aux sommets, ils resteraient des multiplicateurs du vide, des reproducteurs du désastre. Divers peuples vivent encore et toujours innombrables, mais sans un seul homme. Des portes barricadées, voilà ce qu’ils poussent devant eux. Bohdan Chlibec, Le sang de la bourse , traduction du tchèque Petr Zavadil et Cédric Demangeot, éditions Fissile, 2020, p. 15.