
À propos de poésies posthumes Comme dans les monts d’Alk Lorsqu’y court, aussi leste, La bergère, qu’en plaine, Et du roc fait son lit, Mais dessus le pied déli- Cat, pour mille baisers, Ne veut plus avancer, Quand moi, pour l’approcher, Je saute les rochers, Tant l’amour a des ailes, Nonobstant les cailloux Courant au-devant d’elle Je tombe à deux genoux Et aperçoit en haut Ma vie et mon tombeau. Johannes Bobrowski, Boehlendorff et quelques autres , traduit de...