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                                      Aux Parques   Un seul, un seul été... Faites m’en don, Toutes –Puissantes !   Un seul automne où le chant en moi vienne à mûrir,    Pour que mon cœur de ce doux jeu rassasié,       Sache se résigner alors, et meure.    L’âme à qui fut déniée, vivante sa part divine,    Cherche en vain le repos dans la ténèbre de l’Orcus.       Mais qu’un jour cette chose sainte en moi, ce cœur          De mon cœur, le Poème, ait trouvé naissance heureuse :    Béni soit ton...

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