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                                        Aria   Ne précipite rien, trouve ta forme, l’ombre  glisse sous tes ailes  l’épaule des collines se hausse    sur l’intimité des herbes un seul battement de cils  dans le soleil antique    et l’été coule entre nos doigts  les voûtes claires, rieuses  s’élancent entre les corps.   Cécile A. Holdban, Le rêve de Dostoïevski , Arfuyen, 2025, p.  77.

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