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SARAT II / Origine   le poème commence nous laissons une image telle une fumée de cheminées monter, un navire qui sombre nous regardons les petits   ( tristia- )   meurtri   étroit, silencieux, bourdonnant ou rusé.   soir (avec fin) étranger   effleurée, la couverture brillante près des réseaux électriques un lambeau de shakespeare   Anne Seidel, Khlebnikov pleure , traduction (allemand) de Laurent Cassagnau, éditions Unes, 2020, p. 13.

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