15/09/2020
Anne Seidel, Khlebnikov pleure

SARAT II / Origine le poème commence nous laissons une image telle une fumée de cheminées monter, un navire qui sombre nous regardons les petits ( tristia- ) meurtri étroit, silencieux, bourdonnant ou rusé. soir (avec fin) étranger effleurée, la couverture brillante près des réseaux électriques un lambeau de shakespeare Anne Seidel, Khlebnikov pleure , traduction (allemand) de Laurent Cassagnau, éditions Unes, 2020, p. 13.