aeiane dreyfus,nous nous attendons,reconnaissance à gérad schlosser

                « Encore une fois »   Derrière la porte il ne respire qu’à moitié Si elle entre rien ne s’arrête Ne s’oppose   À celle qui s’approche elle est vraie   Maintenant on peut s’ouvrir en deux Les lèvres pas toutes seules De toute sa figure il y va Elle recule   Contre l’armoire l’attend, figée de désir Pas froid chérie Il faut poser sa robe   Ariane Dreyfus, Nous nous attendons (Reconnaissance                            à Gérard Schlosser) , Le CastorAstral, 2012, p. 98.

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