64 Dodoïstu, Les montagnes les rizières et la mer, alain kervern, rupture, grenouille, pluie, femme

                                L’homme avec qui j’ai rompu Le voilà au détour du chemin Vite frottons nous les yeux Une poussière y est entrée   Le long des berges Par temps de pluie Des grenouilles se tiennent Vigiles de l’autre monde   La pluie tombe Les mauvaises langues se délient La pluie s’arrête Les mauvaises langues continuent   Cœur de femme Corps de luciole Sans un mot Se consument   64 Dodoïstu, Les montagnes les rizières et la mer , traduction du japonais...

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