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                             À la santé du serpent   VII  Ce qui vient au monde pour ne rien troubler ne mérite ni égards ni patience.   XX Ne te courbe que pour aimer. Si tu meurs, tu aimes encore.   XIV Si nous habitons un éclair, il est le cœur de l’éternel.   XXV Yeux qui, croyant avoir inventé le jour, avez éveillé le vent, que puis-je pour vous ? Je suis l’oubli.   René Char, Le poème pulvérisé , dans Œuvres complètes , édition Jean Roudaut, Pléiade/Gallimard, 1983, p. 263, 264, 266, 267.  

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