
I je t’aimais avec des arceaux et des ruches dans un bordeau imaginaire, sous un gué mordant tes seins sous les cailloux ô ma cigüe Je t’aimais pour ta sylve noire rose rêche et je t’aimais bien mieux neigeante d’innocence mais dévorée par la douleur du fruit oral bruyère de corfou aux sueurs désirables comme une fourche où glisse la rosée des sens je t’ai soumise à mes errances longtemps couchée dans le ..... d’une chambre ligneuse (la stupeur nue par le reptile ta caverne) immune des poisons...